Février de pluie, Mars de peine
Sur combien d’airs tes ailes règnent,
et comme la nuit tu entraves les haines,
Au bout du tunnel tes couleurs reprennent.
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Sans amour ton soleil vieilli,
Heureux, libre et alourdi,
et comme l’ère des temps qu’on oubli,
Tes battements rappellent la vie
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Au boudoir des peurs les sourires se cachent
Racontant des soupirent qui se hachent,
Quant aux mures les couleurs s’arrachent
Aux tunnels de l’âme, les raideurs se lâchent
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Avril de joie, Mai de couleurs
Au ruisseau de peines se lavent les douleurs,
Et quant les chants apaisent les fleurs,
Au fil des heurs s’étendent les ardeurs
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